Synopsis du film Océans :

Filer à 10 noeuds au coeur d’un banc de thons en chasse, accompagner les dauphins dans leurs folles cavalcades, nager avec le grand requin blanc épaule contre nageoire…

Océans c’est être poisson parmi les poissons.

Après LE PEUPLE MIGRATEUR, JACQUES PERRIN et JACQUES CLUZAUD nous entraînent, grâce à des techniques de tournage inédites, au coeur des océans à la découverte de créatures marines méconnues et ignorées.

Océans s’interroge sur l’empreinte que l’homme impose à la vie sauvage et répond par l’image et l’émotion à la question : “L’Océan ? C’est quoi l’Océan ?

La vision de Jacques Perrin (réalisateur et producteur) :

Progressivement, l’homme s’est aventuré sur la mer. Ses découvertes furent autant de conquêtes. Naviguant au-dessus d’un monde mystérieux, il n’en soupçonnait pas l’infinie richesse et diversité.

Si les secrets océaniques ont fasciné les explorateurs, ils ont aussi fait naître les convoitises. On n’a jamais tant découvert, on n’a jamais tant agressé. Et pourtant, la mer est encore un immense territoire sauvage.

Les portes océanes offrent toujours des espaces de liberté illimités. La mer, les bateaux, les poissons, c’est ce que dessinent les enfants. L’histoire naturelle des espèces cachées dans la mer est un merveilleux conte du vivant…

Océans n’est pas un documentaire mais un opéra sauvage.

Chaque plongeur cameraman, chaque opérateur a apporté des fragments de la partition : celle d’un hymne à la mer.

Musique du film Océans : Bruno Coulais.

SORTIE DU FILM OCEANS : Le 27 janvier 2010.

Site internet du film Oceans : www.oceans-lefilm.com

Oceans le film de Jacques Perrin / l'affiche du film Oceans

Le film sera distribué dans le monde entier, grâce aux accords passés avec la filiale environnement de Disney: Disney Nature .

A propos de l'auteur :

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8 Commentaires

  1. AÏSSAOUI dit :

    Bonjour,

    Nous avons vu le film mon mari et moi…

    Nous avons été sous le charme !!!

    Emotion, paysages à couper le souffle, humour… Tout simplement MAGNIFIQUE !!!

    Féliciatation à Monsieur PERRIN Jacques et Jacques CLUZAUD ainsi que toute son équipe !!!

  2. DOUILLON dit :

    Petit clin d'oeil humoristique sur le sujet !
    http://douillon.canalblog.com/
    Bons Sourires

    JEAN PATRICK

  3. lilas dit :

    tp bien

    fai en 1 otre stp

  4. david dit :

    Je sors de la projection, j'ai un gout amer, une nausée qui ne me lache plus, un dégout…

    Que de merveilles, quel équilibre, quelle adaptation des espèces à leur environnement.

    Les images sont magnifiques et allient la beauté des prises de vue à la prouesse technique qui s'oublie devant la dynamique et l'élan de vie des cétacés et des poissons.

    Un crescendo qui nous emmène de plus en plus haut à chaque séquence.

    La sobriété des commentaires nous permet d'illustrer nous même ce que nous voyons : les poissons clowns dans les anémones de mer y survivent en symbiose avec elles malgré leur dangerosité pour les autres espèces de poissons. Et pour cause, ils sont immunisés contre le venin des anémones…

    Point trop de commentaires didactiques donc, pour faire place à l'émerveillement.

    Et puis d'un coup, un filet. Dans ce filet un poisson qui nage gentiment, à distance des mailles. Puis un autre qui s'approche, plus près du filet. Encore un qui commence à se prendre dedans… puis des myriades de poissons, cétacés pris dans les mailles.

    Ceux là sont prisonniers pour rien, ils ne sont pas chassés, vendus, consommées. Leur mort fait partie des dommages collatéraux comme on dit ailleurs pour d'autres drames.

    Et puis nouvelle dégringolade, la pêche nous est montrée sous ses aspect les plus déconcertants ; requins amputés de leurs seuls ailerons et remis à l'eau tels quels, où ils finiront par mourir d'asphyxie car sans leur nageoires ils ne peuvent assurer le renouvellement d'eau nécessaires pour respirer avec leurs branchies.

    Quel gaspillage et quelle cruauté : dans l'ordre qui vous plait.

    Dès lors, je n'ai plus été capable de profiter de la suite du film et des images.

    Je me suis refermé, je suis rentré dans mon trou, dans ma coquille, à l'instar des bernard l'ermite du début de la projection.

    Je me suis senti trahi, piégé… Me montrer tout cela pour me dire ensuite que l'homme compromet tout.

    Ne croyez pas que je sois une oie blanche, que j'ignore tout cela, que je ne veuille pas le voir.

    Je suis tout autant informé que les autres, et peut être même plus que la moyenne, comme d'ailleurs je pense, l'ensemble des spectateurs dans la salle de cinéma.

    Et pour cause, qui se dérange pour aller voir ce genre de film si ce ne sont les hommes et les femmes sensibles à la nature, à sa beauté, sa sauvagerie, son équilibre.

    Qui donc parmi les spectateurs est venu par hasard, choisissant résolument ce film plutôt que "Avatar », la « Princesse grenouille » ou un autre. Il n’y a pas de curieux dans la salle, tous sont acquis aux thèses défendues par l’auteur.

    Alors, à quoi bon nous faire la leçon à nous, pourquoi nous renvoyer chez nous avec cette cruauté, ce gâchis.

    Il suffit de regarder la télévision pour y être confronté, et j’y suis confronté car je suis un téléspectateur assidu de documentaires animaliers et autres images de la Terre.

    J’ai moi-même à mon échelle infléchi ma façon de vivre et de consommer, goutte d’eau parmi d’autres… mais je suis concerné, je me sens parti prenante de ces enjeux.

    J’allais donc voir ce qui « reste de beau dans les océans », conscient de la fragilité de la planète, comme l’ensemble des spectateurs, je le répète et j’en suis certain.

    J’allais voir le film avec un état d’esprit complètement différent des autres réalisations que je vais voir ; d’ailleurs, dans la file d’attente et dans la salle avant la projection, quant les lumières étaient allumées, une certaine connivence, entente, unité, oserais-je « communion » parmi les spectateurs. C’était bien là le rendez-vous des amoureux de la nature.

    Etait-il donc nécessaires de finir le film comme les autres du même genre : l’homme est horrible, il souille tout, corrompt tout, s’approprie, dénature, anéantit… Je le sais, nous le savons tous… surtout nous tous qui sommes dans la salle. Nous venons justement chercher de quoi nous donner des forces : la nature est encore là, elle vit. Redoublons d’effort dans notre vie quotidienne car … J. Perrin nous a donné à voir Ô combien elle est belle. J’y allais pour cela, je faisais confiance, dans un sentiment d’être entre amis.

    Et puis cela se termine comme les autres documentaires. Ce n’est plus un film, c’est un documentaire, avec sa conclusion attendue : « Capri, c’est fini, et dire que c’était la… ».

    Les alarmes sont nécessaires, les SOS indispensables, les alertes bénéfiques, mais de temps en temps, un peu de repos, un peu de joie pure, la contemplation de l’Eden sans nous mettre le serpent sous le nez, souffler sur son gâteau qui a 20 bougies sans nous agiter le déambulateur du grand père devant les yeux.

    Ce n’est pas se voiler la face, c’est reprendre des force.

    J’allais reprendre des forces dans un moment de contemplation de la beauté du monde sauvage, l’esprit relaché, je me suis retrouvé la tête plongé de force sous l’eau nauséabonde du monde réel, par surprise, sans avoir pu prendre ma respiration avant.

  5. Pire dit :

    Magnifiques images.- Le message passe très bien. Il faut conserver la nature.

    Un trés grand regret: pourquoi ne pas mettre sur les images le non du poisson et le non de l'océan. Pendant tout le film on a entendu des petites voix d'enfants qui disaient: "c'est quoi?" et personne ne répondait. On ne sort pas de ce film plus cultivé, ni plus intelligent. Domage, très grand domage. Grande frustration pendant toute le séance. Faire passer un message c'est bien mais apporter la connaissance c'est mieux.

    Désolé.

    Danielle Pire

  6. Brebion dit :

    Bonsoir, Magnifique !

    Mais qu'attendent les hautes autorités pour réguler les pêches, sans gaspillage, que tous les hommes soient seulement nourris. A t-on besoin d'avoir tant de diversité dans nos assiettes ? Quel gâchis ! Ce ne sont pas nous, petites gens qui pouvons faire quelque chose de concrêt pour arrêter le massacre des espèces de la mer et des océans, de la nature qui nous donne tant.

    Au secours !

  7. Joyeux Pagayeur dit :

    Bonjour,

    je viens de lire les commentaires, et j'approuve les encouragements des spectateurs enthousiastes.

    En revanche, je suis consterné par les "déçus" qui critiquent si facilement et oublient peut être un peu vite que ce film a nécessité des années d'effort et qu'il est un risque financier majeur pour son producteur.

    Etant la moitié de l'année sur l'eau salée, je peux attester que les pollutions et autres moments moins contemplatifs, faute de gâcher le plaisir cinématographique de certains ne font pas que leur laisser un gout amer d'après projection.

    Par ailleurs, en recherchant le nom des espèces vues dans le film (remarque justifiée) j'ai revu la même prose de notre ami qui aime tant le "JE", et vu la longueur de sa prose, à croire qu'il aime s'entendre parler ou se lire…

    Oui, un monde parfait existe, dans les rêves et il n'est pas toujours facile d'affronter la réalité.

    De mon côté, je constate tous les ans, la diminution des ressources halieutiques, et pour avoir connu (et mis la main à la "pâte") 2 marées noires, les images plus difficiles ne m'ont pas été plus dur à supporter que certaines images ou journaux télévisés de grande audience.

    Je redis donc ma gratitude à Jacques Perrin d'avoir oser et d'avoir fait ce film au discours pour certains simpliste, mais audible par tous.

  8. Laëtitia dit :

    bonsoir,

    j'ai vrement aimé ce film d'habitude on a tendance à s'endormir devant les documentaires mais là 😮 sa ne parle pas beaucoup et c'est très bien car les images font le reste… j'aime j'aime j'aime !!!!
    émouvant (surtout la scene avec les pêcheurs de nageoirs) et captivant pour la découverte les especes nouvelles à chaque fois…

    par ailleur je suis un peu d'accord avec "Danielle Pire" pour mètre des noms quelques fois des océans tout ca.. (moi je lé aurais bien vu en bas écrit en tout petit à droite)

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