A l’approche de l’été, nous allons redécouvrir ensemble les différentes campagnes « publi-préventives » qu’avait publiées la marque SurfCo Hawaii dans les magazines de surf dans les années 90. Pour sensibiliser les surfeurs aux risques liés à leurs planches de surf, ils avaient choisi à l’époque le mode « choc » et parfois même « gore » dans leurs annonces. Mais il faut parfois choquer avec des cas réels pour bien faire comprendre que les accidents de surf n’arrivent pas qu’aux autres. On commence avec Zack, 17 ans, qui avait envoyé une lettre à David Skedeleski, le boss de SurfCo Hawaii :
« Cher Dave, Papa et moi t’envoyons le bonjour depuis la Côte Est. Je surfais au niveau de 2nd light sur le spot de Patrick Air Force Base dans des vagues désordonnées d’un petit mètre. Papa utilise toujours un Nose Guard, mais pour ma toute nouvelle planche de surf, mon nose guard était resté dans son emballage à la maison. TRÈS REGRETTABLE.
Ma planche a pris un clapot sur une vague qui l’a arrêtée net, pendant que je continuais ma course… J’ai atterri sur mon dos en bas de la vague et ma lèvre inférieure a rencontré le nose de ma planche. La force de la vague a envoyé la planche à travers ma lèvre et m’a traumatisé cinq dents.
Un Nose Guard Diamond Tip à quelques dollars m’aurait fait économiser 1000 dollars de factures médicales, ainsi que plus d’un mois sans pouvoir surfer… La première chose que le Docteur m’a dit avant d’opérer ma lèvre était : « C’est vraiment dommage que tu n’aies pas mis de Nose Guard. »
Merci pour rendre le surf plus sûr. »
Zack.
P.S. Les nouvelles dérives Pro Teck sont d’enfer, non seulement plus sûres mais également plus souples et réactives que toutes les autres dérives que j’avais essayées avant.
Voir aussi le test du melon qui met en évidence l’utilité d’un nose guard pour diminuer la gravité des blessures causées par une planche de surf.
Le Nose Guard est disponible sur la boutique Surf Prevention : http://shop.surf-prevention.com
