Le tennisman André Agassi a reconnu dans son autobiographie « Open: an autobiography » qui paraîtra le 9 novembre 2009 avoir consommé une drogue dure en 1997 : la crystal meth c’est-à-dire de la méthamphétamine, une drogue dure synthétique.

Cette consommation de drogue serait survenue au plus bas de sa carrière alors qu’il était blessé au poignet et que son mariage avec l’actrice Brooke Shields battait de l’aile.

Il aurait menti à l’ATP pour éviter une sanction.

Cette révélation a profondément choqué et déçu dans le monde du tennis où Roger Federer s’est dit sous le choc alors que Rafael Nadal a condamné la décision de l’ATP : « Si l’ATP a couvert Agassi un jour, cela me paraît très mal, a déclaré Nadal lors d’une conférence de presse à Madrid. Si, à cet instant, on a couvert ce joueur, alors que l’on a sanctionné ceux qui ont fait de même, cela me semble être un manque de respect à tous les sportifs. »

Cette histoire n’est malheureusement pas exceptionnelle dans le monde du sport de haut niveau. Il est également classique qu’un sportif passé entre les mailles des contrôles anti-dopage avoue après la fin de sa carrière s’être drogué : c’est un grand classique pour faire vendre du papier et gagner un peu plus d’argent pour faire fructifier sa carrière avec les droits d’auteur sur les milliers de livres vendus.

Dans le milieu du surf certains surfeurs ont déjà avoué dans des magazines ou dans des bouquins s’être drogués pendant leur carrière, et si l’on en croit certaines rumeurs, on n’est pas au bout de nos mauvaises surprises concernant les addictions de quelque(s) champion(s) de surf.

Lire aussi la rubrique Surf Prevention sur la prévention des conduites à risques.

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1 commentaire

  1. basile dit :

    t'as des noms ?

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