Wavegarden révolutionne la technologie des vagues artificielles
Wavegarden, le nouveau leader de la technologie de piscine à vagues, a dévoilé aujourd’hui sa nouvelle installation de surf à grande échelle avec une vidéo présentant des séances d’essais réalisées par quelques-uns des meilleurs surfeurs professionnels mondiaux.
La nouvelle lagune de surf, construite et développée au Pays Basque, génère des vagues tubulaires parfaitement formées qui déroulent sur plus de 220 mètres sans perte de puissance ou de forme. C’est la plus longue vague de surf artificielle existante. La qualité des vagues, leur forme et leur vitesse sont adaptées aux surfeurs exigeants de très haut niveau technique.
Commentant cette publication, le PDG de Wavegarden, M. José Manuel Odriozola a déclaré: « Nous sommes ravis d’être en mesure de révéler au monde du surf notre nouveau centre de démonstration, qui devrait révolutionner la façon dont les gens pratiquent le surf. Historiquement, la pratique du surf a été cantonnée aux régions côtières bénéficiant d’entrées de houle. Cette pratique dépend aussi des horaires des marées, des conditions météorologiques et de la qualité de ladite houle. Avec le développement de notre technologie Wavegarden, nous pouvons proposer l’authentique expérience du surf partout où il sera possible d’implanter une lagune. »
Technologie de Pointe
L’équipe de Wavegarden, des ingénieurs et des surfeurs passionnés, a travaillé pendant près d’une décennie pour créer une lagune artificielle de surf conçue pour générer des vagues consistantes et parfaites pour les surfeurs de tous niveaux. En ayant éliminé presque toutes les conditions aléatoires liées à la pratique du surf dans l’océan, cette vague révolutionnaire peut fournir du surf de qualité à toute heure de la journée en toutes saisons.
La technologie brevetée de Wavegarden utilise une aile profilée, c’est à dire une hydrodynamique qui fonctionne au niveau du sol pour créer une houle sur toute la longueur d’un bassin. Cette houle déferle vers l’intérieur en créant simultanément deux vagues parfaites qui déroulent en gauche et en droite sur la longueur du plan d’eau. Le générateur de vagues s’arrête à chaque extrémité du plan d’eau, les vagues se transforment alors dans la baie en petites vagues plus ludiques idéales pour les enfants, les écoles de surf, et le longboard. Une fois que le cycle de la vague est terminé, le système se retourne et crée une autre série de vagues parfaites qui se brisent dans la direction opposée le long de la lagune jusque dans l’autre baie.
Cette technologie est conçue pour produire 120 vagues par heure avec une puissance moyenne de 270 kW. La technologie a prouvé, grâce à des tests de simulation de pointe, qu’elle peut créer des vagues de toute hauteur et longueur, en fonction de la taille de la lagune. Cette installation est à ce jour un laboratoire de recherche et de développement fermé au public.
Les avantages de Wavegarden
Brevetée et fabriquée par Wavegarden, la technologie est fiable et nécessite beaucoup moins d’énergie par rapport aux autres technologies de production de vagues artificielles. Elle bénéficie également d’un faible impact sur l’environnement et de coûts les plus bas pour sa construction et son exploitation. Un facteur clé dans le développement de la technologie Wavegarden qui assure une sécurité optimale pour les usagers en isolant le générateur de vagues des surfeurs.
Wavegarden assure un retour sur investissement commercial autonome: Fréquence des vagues, capacité d’accueil des surfeurs importante, coûts globaux faibles.
Les partenaires exclusifs
Wavegarden s’est déjà développée dans deux des capitales mondiales du surf en signant des partenariats stratégiques pour développer au moins cinq installations en Australie et 25 aux Etats-Unis au cours des années à venir.
Wavegarden a également conclu des accords avec plus de dix autres affiliés qui se sont engagés financièrement dans le développement des installations dans les différentes parties de l’Europe et le Moyen-Orient. Il reste encore à déterminer où l’emplacement du premier lagon commercial sera ouvert, cependant cette technologie promet de surfer où cela n’a jamais été possible auparavant.
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Les surfeurs professionnels, tels que Taj Burrow, Adriano de Souza, Dane Reynolds, Gabriel Medina, Jeremy Flores, Miguel Pupo, Dusty Payne, Craig Anderson, Jadson Andre, Aritz Aranburu et Pauline Ado ont tous testé la nouvelle installation de Wavegarden avec des critiques très positives:
«C’est une révolution!« a déclaré la surfeuse professionnelle Pauline Ado de France.
«C’est amusant pour tout le monde. Si vous ne surfez pas, vous pouvez apprendre à surfer ici! « a déclaré Gabriel Medina, surfeur pro du Brésil.
«La vitesse de la vague est parfaite«, a ajouté le surfeur californien Dane Reynolds.
33 Commentaires
je veux la même dans mon jardin !!!
Une « lagune » ou un étang ? Une lagune est « une étendue d’eau généralement peu profonde séparée de la mer par un cordon littoral » selon Wikipedia(http://fr.wikipedia.org/wiki/Lagune).
Or si je ne me trompe pas, l’actuel Wavegarden et les projets en cours ne sont pas prévus pour être à proximité immédiate de la mer.
bonjour es ce ouvert au public
y as t’il des coordonnées pour reserver ou y aller,?
merci luc
Non rends toi sur leur site web il est précisé que le site du fabriquant au pays basque est non public. DOMMAGE… surtout en ce moment :/ En tt cas je suis bluffé !
Je me demande vraiment quelle est la techno employée car évidemment, personne n’en parle. Cela ne semble pas être une pièce qui se déplace sous les surfeurs, ni un mouvement d’eau généré au début du plan d’eau, vu que toutes les bordures sont douces. Et il est bien dit que la vague fait des A/R. J’imagine donc que le système se niche dans la partie centrale, qui, elle, abrite une pièce en mouvement ?
@Stéphane : http://www.wavegarden.com/lang/fr/thewav/technology voici le lien expliquand la technologie employée ainsi que les recherches…
fake!
@uhaina54: Bcp de taf pour un fake et dans quel but ? j’ en profite pour me corriger expliquanT pas d 🙂
je deconne , je suis jaloux je reverai de l’ essayer !!!
Je dois bien avouer que je suis partagé. Certes si je me trouve à coté de cette superbe vague, j’aurais du mal à résister à la tentation. Mais le surf pour moi c’est qqchose de plus que seulement des superbes vagues. Et pour une fois qu’un sport est plutot « green » on se débrouille encore pour consommer un peu d’énergie (équivalent 250 foyers – chiffres ADEME). La nature nous les procure gratuitement dans des cadres splendides mais on veut toujours progresser plus vite (moi le 1er)… à suivre mais espérons que nos côtes ne se transforment pas en parcs d’attraction!
He bien si sa peut vider unpeu nos line up sa ne serait pas plus mal! malheureusement a long terme sa risque plus d etre le contraire…
Un nouveau coup de pub sur tous les site de surf, deux ans après…
Mais réellement, qu’en est-il ?
Y’a t-il des projets concrets avancés ?
Apparemment, aucun surfer n’a gagné à l’Euromillions !!!
j’éspère qu’à l’avenir ces organismes vont s’attaquer aux régions comme la haute normandie oû il y a un grand nombre d’adeptes de sports de glisse vu la mer à proximité, mais oû hélas les vagues sont rares et donc souvent saturées de monde lorsque ça marche.On est déjà frustré quand on voit les spots en photo de la côte atlantique marcher parfaitement, mais si en plus on nous montre qu’on y fabrique des piscines à vagues en côte basque…il y a de quoi devenir fou.
On surfe en plein délire ! c’est ça le surf ??
c’est rigolo 1 heure avec les potes, mais après ? Flores est content de prendre 300 vagues en 3h… Quelle bêtise ! Qu’ils regardent tous un nouvelle fois Endless Summer, la recherche de la vague parfaite fait partie de la pratique du surf.
J’imagine les pauvres bougres apprenant à surfer au jardin des vagues… la tronche qu’ils feront, sûr d’eux, une fois dans l’Océan face à du 2m, dans le courant, ramer 200m pour arriver au peak…
je me marre…
@boris, c’est bien beau Endless Summer, la recherche de la vague parfaite, etc… mais il y en certains d’entre nous qui travaillent et qui ne peuvent pas se permettre de faire le tour du monde pendant 2 ans, sans parler du coût d’une telle aventure.
@Ludo, je suis d’accord avec toi, rien ne vaut une vrai vague dans « un cadre splendide », mais il se trouve que depuis le début de l’année sur la côte basque, on se tape surtout des vagues de m*rde dans un cadre ultra pollué, alors une session d’une heure sur une vague parfaite dans ce genre de parc une fois de temps en temps, moi je dis pourquoi pas.
Okay, le coût électrique est à prendre en compte.
Mais si le public qui y va ne fait pas de longs voyages pour aller à la plage, on y gagne énergiquement.
Imaginons que l’installation se démocratise, vous verrez les line-ups se vider à toute vitesse. Qui voudra nager au milieu des déchets et des méduses, dans des vagues médiocres, quand il suffit de payer pour une vague parfaite ?
Le seul point noir que je vois à ce projet, c’est l’éternelle artificialisation de nos écosystèmes. Encore et toujours plus de béton, plastique, goudron…
Vraiment pas écolo tous ça quand même. Alors que c’est sois disant un sport « vert »…
Mais bon c’est vrai qu’il y a possibilité de bien rigoler. 😉
Il y a des équivalents et des précédents à ce genre d’artificialisation d’une pratique sportive en milieu naturel:
– le course à pied sur tapis roulant
– l’escalade en salle sur des murs aux prises colorées
– les simulateurs de vols, de conduite
– le ski en salle comme au japon ou à Dubaï
– la wii sport
– les poupées gonflables
…
Dans tout les cas, si cela peut apporter un complément utile en hiver à un sportif en quête de performance ou de résultats en compétition, le public de ce genre d’attraction touristique est celui des parcs de loisirs et autres Aquagnagnan ou Disneytruc.
Pour moi la cible n’est pas les surfeurs mais plutôt la même que celle des marques de surf qui visent très au-delà des surfeurs, tous les consommateurs Djeun’s et moins Djeun’s attirés par l’image Sea Skate and sun du surf et son cortège de bling bling stéréotypé…
Si je passe devant en hiver et que j’ai rien à faire, je testerai la bête une petite heure si c’est pas en intérieur couvert avec musique à fond, blindé et bruyant comme toutes les attractions mais comme j’ai pu faire une attraction foraine poussé par mes foldingues de filles…
Et puis s’ils sont là-bas, ils ne seront pas à l’eau avec nous…
Ce qui est sympa, en plus du cadre magnifique, c’est que la vague étant exposée aux vents, il reste un petit facteur aléatoire (en plus des variations possibles apparemment sur le déferlement de la vague)… On peut donc profiter d’un bon offshore… mais comme la vague fait des aller-retours… argghhhhhhhhhhh !!! De la science fiction mais de la bonne, bravo les basques !
Franchement je suis étonné du niveau de rejet qu’un tel projet suscite dans la communauté des surfeurs. Perso je n’ai pas forcément l’occasion d’être dans un coin ou l’on peut surfer régulièrement, un tel outil est simplement génial. Alors oui je suis d’accord avec ceux qui critiquent le rapport à la nature un peu biaisé, mais quand même… il ne s’agit pas de gros bassin béton que l’on retrouve sur les projets américains et australiens. De même si la consommation est bien de 270Kw pour une heure de vagues de 120cm, c’est super performant.
Le projet est européen, il serait peut être sympa pour eux d’être content, parce qu’il délivrent leur deuxième bassin surfable à ce jour, les autres arrivant visiblement l’année prochaine. Chez les concurrents à part des vagues de 10cm on a rien vu nada, que dalle…
Après faut revenir un peu sur terre, les planches de surf sont loin d’être toutes en polonia (bois des alaias), l’impact d’un endless summer en bilan carbone serait juste tordant à calculer.
J’entends aussi énormément de réflexions sur le coté mercantile de la chose…Les mecs viennent de passer 10 ans à trimmer pour sortir un projet dont il n’ont pas pu tirer bénéfice encore, c’est sûr qu’ils ne vont pas le donner gratos. Les shapers aux dernières nouvelles ne distribuent pas les planches aux nécessiteux.
Depuis le début toute leur communication repose sur une approche écologique. Alors au vu de ce qu’il montrent, même si il s’agit d’une activité consommatrice d’énergie, il font visiblement gaffe sur plein de niveaux. Toutes les architectures environnantes sont en bois, visiblement dans la lignée d’une architecture responsable, l’impact sur site à part une fosse béton et un gros terrassement couvert d’une bâche semble modeste, et la machine semble optimisée pour consommer le moins possible. Alors oui, cela dépendra aussi des clients qui mettrons en œuvre leur machine, mais visiblement ils ont bien envie de vendre une prestation ‘complète’.
D’un point de vue apprentissage, entrainement et compétition, le potentiel est énorme, suffit de regarder les passage de Dane en suivi caméra, imaginer des séries parallèle comme en snow pour réaliser le potentiel énorme de la chose, c’est clair, les médias vont adorer, surtout si ils envoient du lourd en taille.
On est bien d’accord c’est un super parc d’attraction… Ce qui explique sans doute pourquoi une majorité de surfeurs ne se sentent pas concernés malgré les efforts d’amener les icônes de ce sport à venir s’y baigner pour quelques clichés et commentaires lénifiants.
Et comme je l’ai lu plus, on a jamais eu les photos les jours de vent ou de pluie… Si ça dépend des conditions alors retour à la case départ, les bancs et la marée en moins.
Pour moi, ça sent l’équipement indoor et en périphérie proche des grandes villes là où ce genre d’équipement à toute sa place y compris d’un point de vue rentabilité économique entre deux supermarchés et une zone industrielle.
C’est moins funky comme image qu’une belle colline verdoyante basque mais c’est plus proche de la finalité du concept!
Vu le prix d’une couverture, y’en aura pas des tonnes de bassin couvert, voire aucun. Regarde le prix d’une piscine et imagine le tarif pour couvrir un bassin long de 360m. Sincèrement y’a que Airbus qui paye ce genre de hangar.
Le vent? un coup on shore un coup off (aller retour), c’est pas la mort.
La pluie? franchement mes meilleurs session glassy ont souvent eue lieu sous la pluie, je ne vois pas le problème. Quand tu implante un projet comme ça comme pour n’importe quel projet tu prends toutes les données météo dispo, particulièrement la rose des vents. En vallée du rhône tu auras ainsi peu de chance de voir un wavegarden axé EST-OUEST.
L’implantation? ça ne dépend pas d’eux, mais ils donnent une vision claire de ce qu’ils s’imagine être idéal, et se donnent les moyens puisqu’ils proposent une équipe intégrée d’architecte, d’ingénieurs, de commerciaux. Regarde et lis les choix du projet de bristol et sans juger des prochaines réalisation, la composante écologique est loin d’être anodine (ils ont changé de site à cause d’une zone de biodiversité présente sur l’ancien).
Pour le coté parc d’attraction, je ne suis pas d’accord, je parlerais plus d’un stade d’eau, Moi je me régalerais à apprendre à mes enfants le surf là dedans avant de les emmener ailleurs. Toutes les spots de surfs sont loin d’offrir un environnement sécurisé pour les stroumpfs (rochers, baïnes, courants, forts vents).
Enfin de là à dire que les commentaires sont lénifiants….c’est juste du marketing, ils n’imposent à personne leur point de vue ni obligent les gens à y aller ou à les croire, l’argent ne fait pas tout dans le business, pas sûr qu’ils aient beaucoup eu besoin d’insister auprès des surfers.
Quand à affirmer qu’une majorité de surfeur ne se sentent pas concernés, j’attends les premiers parc ouvert au public pour voir, surtout ceux avec des vagues de 190cm.
Je n’ai aucune idée de l’adhésion des surfeurs à ce genre de projet et je ne faisais que rebondir sur ta remarque sur « le niveau de rejet … ».
Va pour stade d’eau comme pour les amateurs de wakeboard ou de ski nautique tracté par un câble et des perches. Les amateurs de Kitesurf se reconnaissent-ils dans ce genre d’installation artificielle qui leur procure le même genre de sensations techniques et de manoeuvres en boucle en s’émancipant des conditions de vent et des risques d’échouage ou de projection ?
Pour moi, ça n’a rien à voir et même avec une vague parfaite de 2m creuse qui tube sur 900m en toute sécurité avec photo souvenir personnalisable et ticket gratuit pour la cinquième entrée, c’est aussi différent du surf et de l’océan que peut l’être le canadadry à la bière, le beaujolais à un grand cru bordelais, du nut… au chocolat, du champom… au champagne, etc… On peut adorer et en consommer sans jamais les confondre ni même les comparer!
si chaque vague nécessite de l’électricité ne pourrait elle pas en rendre un peu ?… de plus en plus de systèmes se perfectionnent afin de transformer le mouvement des vagues, le courant en énergie.
A cette échelle le coût de l’installation des récupérateurs d’énergie marine sera trop supérieur au rendement électrique sinon on pourrait le faire pour tous les écoulements d’eau comme la chasse d’eau ou les eaux de pluie…
Même problème que la vmc double flux qui pompe quelques Watt de plus qu’elle ne te fais économiser. résultat plus c’est simple mieux c’est.
Le principal problème de ce type d’installation réside effectivement dans l’énergie. Le coût en électricité doit être optimisé pour assurer un rendement maximum et surtout proposer une solution vraiment écologique.
Cela trouvera sa place en tant qu’attraction, cela servira peut être à des compétiteurs pour affiner certaines postures et gestuelles dans des petites conditions. Cependant c’est réduire le surf au seul fait de prendre une vague. J’ai 40 ans et surfer pour moi, c’est un tout. Checker des conditions, prévoir. Se lever très tôt pour tracer, l’impatience d’arriver au spot… Enfiler sa combi encore mouillée de la veille un 15 janvier… Tout ces petites choses qui pimentent un peu la vie. Et m^me si je me mets à l’eau et que la session n’est pas bonne… J’aurais quand même passé un bon moment… parce que je me suis senti pleinement vivant sur ma board avec mes soucis quotidiens restés à terre.
Moi je préfère traverser la France en voiture pour aller faire chier les locaux sur « leurs » cotes pour apprendre le surf.
c’est un truc de gaga de faire ça dans le pays basque , qu’ils en installent un en Med la ça sera rentable!
ou encore mieux en région parisienne aux étangs des villes nouvelles comme Cergy, Marne la vallée (à disney?) où il y a déjà des câbles de ski nautique… C’est clairement un concept pour touriste car les surfeurs risquent très vite de se lasser, trop répétitif, réglé, orchestré, artificiel enfin!
D’ailleurs, les images des surfeuses du roxypro n’arrivent pas à cacher cet aspect majgré tous les efforts pour filmer des vrais move et la motivation et l’esthétique de Sally qui en plus de s’arracher au wavegarden s’emmerdait tellement qu’elle aussi gagner la Biarose, encore quelques jours et elle défiait les Basques à la Paleta…
je comprend que ça plaise pas plus que ça aux surfers qui ont la chance d’avoir l’océan à côté de chez eux mais pour moi qui habite à Nice et qui ne voit les vagues que 2 semaines par an je trouve ça vraiment super! ça se compare pas aux vagues de l’océan ya pas le côté nature ect mais franchement moi j’en veux un chez moi!! je pourrai m’entrainer et progresser toute l’année!
Piem personne ne prétend ici qu’un wavegarden remplacera l’experience de l’ocean, même pas les promoteurs du projet. Ils sont avant tout surfeur et visiblement ils adorent l’océan. Je vois cela comme un énorme complément pour l’aprentissage, les zones type med avec peu de vague, les J.O., les saoudiens qui voudront certainement un modèle type mundaka|2m parcequ’il aiment bien avoir la plus grosse.
Le prototype du pays basque est là pour développer, concevoir et tester, par pour implanter un parc. Les gars sont de là bas, ils vont pas concevoir un truc pendant dix ans en déplacant tout le monde d’entrée. Et puis ils ont de très bon surfeur et spot autour d’eux pour tester et comprendre la méchanique d’une vague. Pas sûr qu’une implantation à Clermont Ferrand soit motivante pour des gars qui surfent tous.
Pour l’énergie, faut pas rêver, toute activité consomme de l’énergie. L’idée c’est d’en consommer le moins possible. à voir si un parc comme ça peut être partiellement alimenté par des modules solaires, même si j’en doute.