Retour en témoignages sur la disparition tragique de la petite Anissa dans un accident d’hydrospeed.

Djamila Azedine est effondrée et en colère.

Sa fille, Anissa, est morte noyée dans la Durance, coincée sous une barre de fer de 12 m de long alors qu’elle pratiquait de l’hydrospeed.

« Quand les enfants partent en colonie, tout le monde revient normalement avec le sourire, des rêves, des photos. On ne revient pas avec un cercueil », a-t-elle dit sur Europe 1.
Plus d’informations sur www.europe1.fr

Yannick Labbe a participé à la tentative de réanimation de la fillette morte samedi à l’Argentière-la-Bessée dans les Hautes-Alpes. « Nous, ça nous a mis en colère. Cette barre de fer se voyait », assure-t-il.
Plus d’informations sur Europe1.fr :
http://www.europe1.fr/Info/Actualite-France/Faits-divers/Accident-mortel-d-hydrospeed-2-hommes-en-garde-a-vue/%28gid%29/235555

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1 commentaire

  1. Il faudrait expliquer aux parents que leurs enfants vont s'initier à une activité à risques AVANT qu'un accident ne survienne.

    Cela me fait penser à tous les accidentés de surf que j'ai reçu aux urgences ou à mon cabinet médical (quotidiennement en cette période estivale) : quand les parents m'amènent leur enfant balafré, ils sont toujours surpris qu'on ne leur ai pas dit que l'on pouvait se blesser en surfant…

    Pour l'hydrospeed, je n'ose même pas imaginer. Je n'oserais même pas essayer ce sport… alors une gamine de 11 ans…

    Mais ces cours génèrent un tel business en haute saison, que des critères économiques passent parfois avant les règles élémentaires de sécurité.

    Cf. les cours de surf par drapeau rouge : https://blog.surf-prevention.com/2008/08/20/est-il

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