Nous avons parlé la semaine dernière de la qualité des spots sur la Côte Basque. Pour ne pas faire de jaloux, parlons aujourd’hui de la douceur de vivre dans les Landes, comme ici à Mimizan, « réserve naturelle de bonheur ».

Pour vivre pleinement le surf, l’idéal est d’habiter sur la côte. Ce n’est pas trop compliqué quand on est célibataire, mais quand on vit en couple avec des enfants, il faut pouvoir trouver un logement, et un emploi pour les deux conjoints, ce qui n’est pas toujours évident.

Vivre en bord de mer est un choix de vie à faire pour soi-même, et pour sa famille. Le bord de mer est un environnement idéal pour élever ses enfants, et les voir grandir en bonne santé.

Il existe encore des endroits en France où on peut concilier environnement favorable, qualité de vie et travail stimulant. L’organisation du travail, et notamment le développement du télétravail, permettent maintenant de travailler depuis chez soi sur la Côte, avec un employeur à Paris ou à l’étranger. Certains secteurs d’activité s’y prêtent davantage comme l’édition, la traduction, la conception graphique…

Vivre à l’année en bord de mer, c’est le choix qu’ont fait Stéphanie, graphiste, et Olivier, chef d’entreprise à Mimizan. Avec leurs deux fils, ils vivent leur vie de famille au grand air des Landes.

Olivier ne regrette à aucun moment son choix: « Pourquoi Mimizan ? Parce que j’y ai grandi, je m’y suis épanoui étant jeune… Il y a un cadre de vie phénoménal pour tout ce qui est activités sportives: le surf, un peu de kite, faire grandir les enfants au milieu d’un cadre fabuleux, la Nature, la forêt… On ne trouve ça nulle part ailleurs. Même en ayant fait quelques pays du bout du monde, Mimizan est une superbe équation de vie. »

Lire aussi: – Travailler moins pour surfer plus.

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26 Commentaires

  1. Am'S dit :

    En tout cas cette vidéo montre bien qu’il y a peu de monde à l’eau dans les landes et qu’il faut « inciter les jeunes à venir s’installer dans les landes… » il y a tant de vagues mâles surfées!
    Spéciale dédicace à Marc si je comprends bien…

  2. Marc dit :

    Super l’exemple …!!!la plupart des jeunes galèrent pour avoir un job dans les landes ,n’auront jamais les moyens de se payer une maison d’archi avec piscine […] Visiblement cette famille fait partie de la classe aisée […] vous allez nous faire croire aux smicars que c’est si facile que çà de s’implanter dans les Landes et y vivre ??Allons soyons sérieux ,vous avez choisie une famille qui ne représente pas la vrai réalité de la vie dans les Landes ou la plupart des jeunes familles galèrent.

  3. jeey dit :

    Autant je suis plutôt souvent en accord avec vos articles mais la …
    Marc a raison a 200% cette famille ne représente en rien la réalité de 90% des gens… mon projet de vie étant justement de partir vivre vers Seignosse (et je suis graphiste) je peux vous assurer que la réalité économique ne s’y prête pas du tous !!! Trouver un emploie dans les Landes lorsqu’on ne viens pas de la bas est un calvaire 🙁

  4. Steph dit :

    Effectivement, la gentrification de la cote est en marche, et Mimizan est un bon exemple! Si la Papèterie ferme, les derniers emplois s’en vont, et ne resteront que les commerçants les plus aisés, les rentiers vivant de ,la location de leurs biens immobiliers et les retraités en nombre toujours plus important.
    L’immobilier en prendra pour 25% en plus, accélérant la tendance/ les propriétaires et les commerçants, qui tiennent les leviers du pouvoir politique, n’y verront que des avantages.
    Avec la Papèterie, le phénomène sera un peu ralenti, mais la condamnation est ferme, le délai de grâce un peu allongé.
    J’avoue que je regrette le Mimizan des années 70/80, qui assurait le tourisme « de masse », « ouvrier », quand le sud des Landes se gentrifiait allure grand V. La présence industrielle permettait de limiter l’implantation des plus « exigeants »…

    Désormais, golf, aérodrome, halte nautique, mise à l’eau de jet ski, optimisation de la « mise en valeur commerciale », tout va dans le sens d’une transformation de Mimizan en Vieux Boucau, en espérant devenir Capbreton. Peut être que le grenouille éclatera avant de devenir bœuf, mais ca m’étonnerait, on va rarement à contre courant de l’évolution…

    Oui, les classes aisées vont pendant quelques années s’installer dans les Landes nord, qui combinent tous les avantages recherchés par cette clientèle, qualité de vie, nature, port, infrastructures… Par contre, rien de nouveau pour les fauchés et les petits emplois, qui n’ont jamais été vraiment aidé dans le coin! Dèjà y’a trente ans, l’emploi moyen à Mimizan était limité!
    Les Landes ne sont pas un « bassin d’emploi », come ils disent, mais sur que l’on verra de moins en moins de forestiers, d’ouvriers et de petits militaires et fonctionnaires, et de plus en plus de gens aisés heureux de vivre pleinement l’expérience prônée dans les revues sportives, de surf ou le « Figaro madame »!

  5. Attention, cet article ne dit pas qu’il est facile de s’installer dans les Landes, mais que le rêve est encore possible, pour les classes moyennes supérieures, souvent au prix d’un endettement sur plusieurs décennies. Ce qui n’est déjà plus le cas sur la Côte Basque où l’accès à la propriété est devenu quasi impossible pour les jeunes !

    On fera prochainement un dossier sur les difficultés de se loger sur la côte. N’hésitez pas à envoyer vos témoignages.

  6. monky dit :

    Op les démunis!!!

    Vivre dans les landes ou sur la côte n’y comptez plus les loulous à moins d’avoir un bon job ou d’être héritier cela est fini!!!
    Aujourd’hui la côte c’est bobo land quoique vous avez encore de la chance dans les landes vous êtes bien reclus…
    Viens à la maison vers les sables d’Olonne c’est le nouveau Biarritz…
    Les jeunes rien à branler ce n’est pas ce qui rapporte des sous on a trouvé bien mieux…
    la nouvelle voix rapide Paris, Angers les Sables d’Olonne et là c’est le drame la ville devient la maison de retraite à ciel ouvert ou le squat à bobo car il fait bon de vivre en harmonie ac la nature quand l’on bosse en ville…
    Un 50m2 dans le centre de paris ça équivaut a une tope longère dans le coin avec vue imprenable sur les marais ou sur la mer….
    Le pire dans cette histoire c’est que les gens qui viennent habiter au bord des côtes ou ailleurs, nous dirons les endroits attractifs, ces chouettes gens qui décident de vivre en paix proche de la nature pour la plus part on a travaillé dur à faire du fric du fric et rien que du fric…avec tout ce que cela implique…
    Du coup revenons en à la réalité:
    -plus de jeunes qui peuvent se loger sur leur lieu de vie
    -désertification du tissu économique local pêche, maraîchage…
    -nouvelles lois de protection de la nature selon les parisiens, (qui connaissent mieux que quiconque le lieux ou ta famille réside depuis plusieurs génération…il y a la science infuse dans ces grandes villes…)
    -maire qui provient de grande ville pour tremplin politique sur ces petites commune si facile à faire évoluer dans le sens bobo
    -dégoût des jeunes du coin envers ce flot d’immigration bourgeoise
    -et j’en passe….
    Bref je crois que je deviens un peu trop aigri quand je vois ce qui se passe ici du coup pour tous les frustrés comme moi qui ont du mal à accepter la conquête de l’ouest par les bobos ou les viocs, je vous invite à trouver la paix en vous faisant la malle, ou en trouvant une solution du style rentrer dans leur jeux en les entubant et la boucle est bouclée.
    ça me fout les boules d’écrire ça mais c’est vraiment ce que je ressent, du coup j’opte pour la première solution taillot vers de nouveaux horizons…

    • soldat BRYAN dit :

      Je suis d’accord avec toi. Tout est dit. Je me sens très mal ici coincés entre les viocs, les bourges;

      Je suis né ici, ma famille et mes parents sont d’ici. Mais comme toi je vais devoir mettre les voiles […]

      En plus ici on s’ennuie à mort Tout est fermé à 19h00 le soir. il n’y a pas de vie culturelle rien ou si peu.

      On ne peut pas vivre ici à l’année, il n’y a rien.

      La vie est dix mille fois mieux à Brest par exemple.

      Cordialement.

      • Samy dit :

        C’est rigolo, en lisant le post de Monky je me disais « il faut qu’il aille à Brest », et soldat Bryan me l’enlève de la bouche. Mais oui ! La Bretagne, en tous cas à la pointe du Finistère Nord, dans le Léon, est encore préservée de ça. Brest est une ville trash avec un très fort caractère, qui mettra bien plus de temps que les autres à se boboiser, protégée par son isolement. La côte y est juste magnifique, les spots de surf nombreux et de qualité (Crozon !!), et on peut y faire son nid et y être accepté dès lors qu’on a un bon esprit. Je suis tombé amoureux et ne suis pas le seul. Brest ne laisse pas indifférent, soit on aime, soit on déteste.

  7. Colonel Bigorno dit :

    Cette famille est peut-être au-dessus du revenu médian des Landes, mais en tout cas, le type a une boîte avec des EMPLOYES. Et Madame qui est graphiste est visiblement parvenu à créer ses partenanariats sur un rayon de 100 bornes. Et je les vois mal construire seuls avec leurs petites mains leur barraque bois, à mon avis un constructeur et un archi ont reçu des chèques. Et ils claquent du fric chez les commerçants et artisans du coin. Bref ils font vivre des Landais.
    Donc tous les gens qui viennent s’installer dans le coin ne sont pas que des parasites qui font exploser l’immobilier. Je ne dis pas qu’il n’y en a pas, mais c’est pas forcément la majorité.
    C’est vrai que c’est chaud de s’installer par ici lorsque nos revenus ne dépassent pas un certain seuil. Mais taper sur les nouveaux arrivants plus aisés, ça n’a jamais gonflé des revenus, et c’est même contre-productif au vu de l’activité qu’ils peuvent ramener. L’essentiel de mes potes a quitté la région soit pour Toulouse, soit pour Bordeaux, Paris et même les Ardennes parce que pas d’activité dans leur secteur. J’en connais aussi d’autres pour qui le surf prend tellement de place qu’ils travaillent selon les marées. Certains tafs le permettent, qui ne sont pas les plus rémunérateurs, d’autres non. Mais en tout cas, cracher sur les « bobos » c’est juste complètement con. Les villes perçoivent grâce aux entreprises. Il y a tout intérêt à accueillir des gens porteurs de projets et donc d’activité. Ce sera peut-être nos employeurs de demain, donc ceux qui nous permettront de nous ancrer sur place. Créer de l’activité locale c’est le meilleur moyen de ne pas en bouger. Et on peut soi-même se sortir les doigts, c’est pas interdit, j’en sais quelque chose.

  8. Marc dit :

    Je n’ai rien contre cette famille ,moi même je suis né à 100 m de mon spot , j’y vie depuis toujours ,je ne me plains pas ,je possède ma cabane ,j’ai le camion qui va bien ,bref j’ai bossé dur pour rester dans mon coin .Mais ce qui me fait rager ,c’est tout c’est bobo ,qui découvre le surf , qui arrivent de tout les coins de France avec l’héritage des vieux dans les poches et qui se la pètent .Je vois tout les jours les jeunes locaux qui galèrent pour s’en sortir ,qui surfent depuis qu’ils sont née et qu’ils vont être obligé de laisser leur place aux nouveaux conquistadors économiques..!

    • amsm dit :

      Tu peux étendre ton analyse à la France entière et même à la vielle Europe entière face au reste du monde économique mais le pire n’est jamais certain et surtout dans l’histoire, c’est toujours dans l’impasse qu’on DOIT et qu’on Innove pour avancer…
      A l’échelle ridicule de notre éphémère existence active, on devrait avoir le temps de se câler quelques belles sessions en redoublant de stratégie et en étant mobile avant que la pollution ou la surpopulation ne viennent tout compromettre et puis le surf c’est une mode pour tout ce petit monde, demain ils passeront sans doute à autre chose…

    • Marre des aigris dit :

      Arrête toi un peu, le surf est réservé aux pauvres sans le sous c’est ça que tu dis????
      Va voir ce que gagnent les gars sur le tour sans déconner!!!

  9. Colonel Bigorno dit :

    Certes, et je suis prêt à entendre que c’est au-delà de frustrant de voir que certains s’accaparent des biens sans faire autant d’efforts que les locaux, c’est horripilant de voir de jeunes merdeux s’inventer une vie de jet-setters avec le pognon de leurs vieux etc. Mais de notre côté on se prépare bien le malaise aussi. Je pense qu’il y aura toujours de la place pour quasi tout le monde:
    les « bobos qui découvrent le surf, ce ne sont pas eux qui vont entrer en compétition avec les surfers confirmés, ils vont prendre des mousses ou ne vont rien prendre du tout assis sur la planche au fond ou avec une rame de merde. Au mieux ils se prendront des cours de surf, donc ils entendront parler de sécurité et de priorités, et ils feront vivre les écoles de surf, métier qui permet à certains d’être à l’eau 365/24/7. Et pour ce qui est des barraques, quand t’arrives avec des ronds, tu vises pas le même type de bien que les autres, donc il n’y a pas mise en concurrence en général. Après, que ça fasse grimper les prix de tout même du café, c’est complètement vrai, mais ce n’est pas leur faute en tout cas pas QUE. Par ici il y a des locaux qui lâchent leurs biens à des prix de débiles, parce que « le Pays Basque (valable ailleurs) n’est pas à vendre » mais quand même si on peut ramasser gros on va pas hésiter. T’en connais toi des proprios qui vont philanthropiquement faire le geste de vendre à pas cher à un local plutôt que de se gaver avec un autre pigeon ?
    Alors oui, ces pratiques sont déjà en place depuis pas mal de temps, mais la confrontation va laisser sur le carreau les plus faibles, ce qui malheureusement désigne les plus pauvres. Faut rompre la tension. Ils ramènent du fric, ben plutôt que de les renvoyer chez eux, ce dont on n’a pas les moyens, et ce qu’ils ne feront pas, rentrons dans la chaîne et récupérons le pognon qu’ils sont prêts à dépenser (dépouillons-les si ça fait plaisir à cetains). Et militons à côté pour un alignement des prix de l’immobilier, c’est pas normal non plus que ceux qui se barrent du coin pour étudier par exemple doivent se taper des loyers à la con à Paris où ailleurs pour des 9 m² insalubres.
    Ceci dit, je comprends complètement l’agacement, ça m’arrive encore souvent d’avoir les nerfs quand je regarde la situation, mais honnêtement, taper sur les uns et les autres ça mène à rien, on a tous notre histoire, certains arrivent plus chanceux, ils se la pètent si ils veulent je ne crois pas qu’un biquet en cabrio avec la Al Merrick qui dépasse ça ait déjà empêché quelqu’un de surfer.

  10. Marre des aigris dit :

    Arrêter de râler là les haters… qui vous dit qu’il n’ont pas galéré pour en arriver là.
    Ce sont 2 entrepreneurs qui ont monté leur business et qui au moins ne se reposent pas en attendant qu’on vienne les aider dans ce pays d’assisté. Le gars a grandit là, il a monté son entreprise, sa femme a des compétences de graphiste qu’elle exploite à son compte, je vois pas ce qu’il y a de mal, ils bossent, ils gagnent leur vie et vivent leur vie de rêve, alors tous les aigris passez votre chemin!!!

  11. Charles Henri de la haute dit :

    Bonjour a tous,
    Réaction assez forte de pas mal de monde. Interréssant.. Je suis moi même un bobo qui a grandi loin de la mer et qui est aussi très mauvais en ortographe.. J’ai eut envie de faire du surf en étant ados, les parents avaient pas les moyens, donc un body tout pourri a 15€, mais des vacances sur la côté atlantique ce qui n’est pas donné a tous le monde!! J’ai du taxer quelques vagues, je savait même pas qu’il y avait des règles.. Des études longues, difficile, loin de la mer toujours… Et maintenant les moyens de m’y mettre. Donc des cours, une board shapé par un local. Et oui ça peut foutre les glandes, qu’on sait vraiment surfer et qu’on a pas les moyens de d’offrir ce luxe. Maintenant je connait les règles de prio, j’essaye de pas taxer les autres.. Je fait ce que je peut avec mon modeste niveau. Posé au large, je bouffe bien, je rame comme une merde et fint par prendre des mousses avec une board a 700 balles.. J’oublie, dans une vie de rêve, j’aimerai bien le rapprocher de la mer..
    (J’oubliais, comme pas mal de petit con de bobo, je préfère payer plus cher pour manger bio et j’aime bien le calme de la campagne alors que j’habite en ville..)
    Bref, on peut être un jeune bobo bio, avoir des sous apres avoir travailler dur et aimer la mer et le surf.
    Des réactions fortes, les impôts viennent de tomber, ça ravive les tensions.. Peut être que je paye l’école de vos gamins avec l’URSAFF qui me pompe 30% de ce que je gagne.. C’est la vie, tant mieux!
    En tout cas, on a toi la même passion, continuons de la partager!!

  12. Krusty dit :

    Un reportage que savoureront les 38 personnes virées de quick à soorts… et bien d’autres…

  13. Fred dit :

    Alors je vais surement en faire râler quelques un mais je vais claquer mon petit témoignage poignant.
    Quand j’étais tout petit je suis venu pour la première fois au pays basque vers l’age de 10 ou 12 ans et j’ai dit à mes parents « un jour je vivrais ici ». J’ai tout fait pour quitter mon quartier pourri du 93 aujourd’hui à 34 ans je suis chef d’entreprise, ma femme également. Alors oui c’est galère j’ai fait beaucoup de sacrifices pour y arriver, mais je n’ai jamais abandonné.
    Certes vivre a Anglet et particulièrement dans les quartiers sympa, c’est juste devenu impossible pour le commun des mortels. Le marché des résidences secondaires et l’inflation du prix du m2 rendent les choses compliquées et sans un héritage providentiel acheter une maison a Anglet ne restera qu’un rêve. Mais des villes restent accessibles. qui sait peu etre que Ondres sera la prochaine destination chic dans 20 ans.
    Bref on peut y arriver. je suis un « Parigo » la pire espèce pour tout les provinciaux de france, j’ai vécu à perpignan et m’y suis fait de vrai amis, j’ai vécu à Annecy et y ai toujours de vrais amis. Aujourd’hui c’est pareil à Anglet. L’important c’est surtout de ne pas arriver en terrain conquis, comprendre la culture dans laquelle on va vivre, et l’adopter.
    Ce qui me fait bien rire c’est les gros débiles qui pensent qu’il n’y a que l’industrie du surf sur la cote. ou qui ne veulent que travailler chez billa ou quik. Allez bosser chez dassault bande de .., ça paye mieux et c’est pas un stage ou un CDD

    • krusty dit :

      Respire avec le ventre… inspire par le nez…expire par la bouche… avec un peu d’entrainement ça devrait t’eviter d’etre aggressif et ordurier pour pas grand chose…

  14. wammoi dit :

    700 € la board shapee par un local? J’ai eu la mienne pour 300. Comme quoi même les shapers profitent des touristes.

    • Colonel Bigorno dit :

      ou alors il a une belle board à 700 et toi on t’a vendu une trogne, parce que c’est plus jouissif de baiser un local plutôt qu’un naïf petit touriste

  15. nico dit :

    Vivement les wavegarden! Qu’on puisse surfer toute l’année en province dans nos régions pour mieux taxer les locaux!! HAHAHAHA

  16. Nick S. dit :

    Tout le monde s’enflamme dis donc, mais l’intérêt de se mini reportage est de faire affluer du monde vers cette commune, et pas n’importe qui, des gens qui ont de l’argent et qui feront vivre la commune et ses alentours. La logique si on se base sur le cadre de reference de la mairire est comprehensible.
    Après montrer un reportage avec des mecs qui se galère etc etc ne serait peut être pas vraiment vendeur on se dirait : » ben j’y vais pas ya que des cas soc’, risque, violence etc etc  »

    Bref pas de quoi en faire une montagne 🙂

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